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      J'ai assisté à de nombreuses conférences sur le réchauffement climatique, cherchant des réponses sur un discours alarmiste autour du CO2, que certains voudraient nous faire croire dangereux pour la planète. La véritable réponse, selon moi, se trouve auprès des scientifiques dont la parole est souvent négligée, allant à l'encontre des intérêts des gouvernants. Je refuse de suivre aveuglément le troupeau et j'ai toujours pris le temps d'approfondir les sujets qui m'intéressent, dès mon plus jeune âge. Ainsi, je partage avec vous un article d'un scientifique parmi tant d'autres, traitant de la question du CO2. Je vous invite à le lire et à y réfléchir... j’ai rencontré plusieurs chercheurs sur la question et tous abondent dans son sens.

François Gervais professeur émérite à l'université François Rabelais. Il est aussi chercheur au CNRS. Depuis 2008, François Gervais axe ses recherches sur le climat et pointe les idées reçues sur le réchauffement climatique. En somme, il se retrouve dans les idées minoritaires des « climato-sceptiques » et il l'assume. · Je pense tout simplement que cet événement est absurde. Le CO2 n’est pas responsable du réchauffement climatique et c’est ce que j’ai prouvé grâce à mes recherches. De ce fait, vouloir le diminuer ne fait pas avancer les choses. On présente le CO2 comme un polluant. Ce n’est pas vrai. Il est bénéfique à la végétation puisque c’est sa nourriture. Prendre la voiture, c’est donc un bon comportement ? · Evidemment ! Pour les plantes, c’est une bonne chose ! Et j’ai prouvé que même si les émissions de CO2 ont augmenté de 40 % depuis 23 ans, cela n’a pas eu d’impact significatif sur la température de la planète. Ce n’est pas une idéologie, mais juste le résultat de recherches scientifiques. Vous niez donc l’existence d’un quelconque réchauffement de la planète ? · Non, il y a bien un réchauffement climatique mais il est tout petit. La hausse de la température moyenne de la planète pourrait être seulement de 0,1 degré d’ici 2100. Cette minuscule hausse est surtout le résultat d’un mécanisme de cycles naturels de baisses et de hausses successives de la température depuis plus de 250 années. Le CO2 n’est en rien le responsable de cela. Il y a même une tendance à un refroidissement de la planète depuis 2002. D’ailleurs, la superficie de la banquise est redevenue excédentaire par rapport à sa moyenne en 2013. Sans les gaz à effet de serre, la température moyenne de la terre serait de moins 15 degrés en permanence. Ce serait invivable. C’est une imposture de montrer que la terre voit sa température augmenter en permanence. Le statut de climato-sceptique est assez mal vu. Comment le vivez-vous ? · Je trouve ce terme très malheureux, puisque chaque scientifique se doit d’être sceptique. Mais à part ça, j’assume totalement de l’être puisque j’appuie ma thèse sur des recherches scientifiques sérieuses. Mais j’admets volontiers qu’il faut être masochiste pour être climato-sceptique par plaisir. Non seulement nous sommes très mal vus, puisque très loin du politiquement correct, mais nous pouvons même être insultés. Je ne vous raconte pas le nombre de fois où j’ai été traité de « négationniste » par certains climatologues lors de congrès scientifiques. Je rappelle toutefois que pour être négationniste, il faut nier une histoire qui s’est déjà produite. Or ce n’est pas le cas pour le climat. Si le CO2 n’est pas dangereux pour la planète, pourquoi se priver d’en émettre encore plus qu’aujourd’hui ? · C’est là qu’il ne faut pas se tromper. Il ne s’agit pas de faire tout et n’importe quoi malgré les conclusions de mes recherches. Préserver les ressources pour les générations futures est un impératif primordial. Il ne faut absolument pas capitaliser sur le fait que le réchauffement climatique soit minime. Ce serait encore plus dangereux. Pourquoi laisser croire que le CO2 est dangereux pour la planète ? · Ce ne sont plus mes recherches scientifiques qui me permettent de dire cela, mais je suis persuadé que la soi-disant lutte contre les émissions de CO2 est un formidable business, avec des chiffres qui donnent le vertige. Lors du protocole de Kyoto de 1997, les pays ont débloqué 45 000 milliards pour lutter contre les émissions de CO2. Dans le même temps, les dettes cumulées de tous les Etats du monde équivalaient à 55 000 milliards d’euros. C’est une aberration. Pour résoudre les maux de l’humanité, il y aurait tellement d’autres manières d’utiliser l’argent, plutôt que de combattre un réchauffement climatique quasiment inexistant…   #CNEWS #enseignement #rechauffementclimatique #CNRS

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